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Aux quatre coins du monde, un à un, les morts se réveillent et se mettent à errer, apathiques et sans but, dans le monde des vivants. Le récit d'une inconcevable fin du monde, vécue du point de vue d'un unique personnage, est prétexte à l'évocation de problèmes actuels (écologie, intégration) et à une analyse sur l'altérité. Electre 2014
Après une enfance à la campagne marquée par la guerre et l'occupation, il effectue des études secondaires avortées au lycée Champollion à Grenoble. Il travaille ensuite aux Ponts et Chaussées de 16 à 20 ans. Il entre à l'École des arts décoratifs de Grenoble en 1957. Il enseigne un an le dessin au lycée Champollion, puis c'est le service militaire en Algérie, jusqu'en 1963.
De retour en France, il enseigne à nouveau jusqu'en 1969 puis devient écrivain à temps plein. Depuis la sortie des Arts Décos, et parallèlement à l'enseignement, Andrevon poursuit et développe de nombreuses activités : journaliste, peinture, auteur-compositeur-interprète, cinéaste... Mais c'est dans l'écriture de fiction qu'il obtient ses premiers succès. Après des parutions dans divers fanzines, sa première nouvelle professionnelle est publiée dans le magazine Fiction en mai 1968.
Dès lors, Andrevon publie chaque année en moyenne trois ou quatre ouvrages (romans, recueils de nouvelles, travaux en commun), au départ essentiellement chez Denoël et au Fleuve noir où il a débuté en signant du pseudonyme Alphonse Brutsche), puis chez de très nombreux autres éditeurs (J'ai lu, Le Livre de poche, Flammarion, Magnard, Nathan, Canaille, Baleine, etc.).
Désormais, il publie moins souvent, et s'est éloigné de la SF au profit du thriller et de la littérature pour la jeunesse. Il a également écrit une autobiographie en 1993 sous le titre Je me souviens de Grenoble.
De sensibilité écologiste, Jean-Pierre Andrevon est considéré, et se considère comme un auteur engagé[1],[2].
Il participe surtout à la revue Fiction (jusqu’à son dernier numéro en 1990[3]) et dès son premier numéro à La Gueule ouverte, revue française consacrée à l’écologie militante.
Dans la deuxième moitié des années 1980, il participe à la création de deux collections de science-fiction, comme codirecteur à La Découverte, comme lecteur et illustrateur aux éditions de l’Aurore.
Entre 1983 et 1989, Andrevon participe à la direction et aux activités du Centre de création littéraire de Grenoble, maison d’édition associative, où il publie nouvelles, poèmes, posters, cartes postales.
Il poursuit aujourd’hui ses activités dans la peinture et le dessin. Il a d’ailleurs réalisé deux prestations picturales : en 1990, la réalisation d’une peinture murale, Le Mur des galaxies, à la Maison d’Ailleurs, musée international de la science-fiction à Yverdon-les-Bains, en Suisse, et une exposition personnelle à l'hôtel de ville de Grenoble en 1993.
En 2007, sous l'amicale impulsion de Sirieix (du groupe Trois Fois Rien), il réalise son premier CD Vol.1: Je viens d'un pays, comprenant quatorze titres originaux et une reprise (hommage à son mentor musical Stéphane Golmann). Il récidive en 2009 avec Vol.2: Les Gens et en 2011 avec Vol.3: Le cours du temps, toujours avec Sirieix (label associatif Vecteurs Bis).
Titre: Le monde enfin Auteur(s): Jean-Pierre ANDREVON Editeur: FLEUVE EDITIONS Année d'édition: 2005 Etat: Occasion - Bon ISBN : 9782265082304 Commentaire: Ancien livre de bibliothèque. Petite(s) trace(s) de pliure sur la couverture. Ammareal reverse jusqu'à 15% du prix net de ce livre à des organisations caritatives. Chez Ammareal nous vendons des livres d'occasion en ligne fournis par nos partenaires bibliothèques et associations.Nous reversons une part du prix de chaque livre à nos partenaires et à des organisations caritatives.Ce [...] que nous ne vendons pas nous le donnons, ce que nous ne donnons pas nous le recyclons.